Dès sa création, en 2001, Personn’Ailes permet l’accès aux moyens de prévention et d’information sur le VIH/SIDA chez Air France. Forte de 350 nouvelles adhésions, chaque année, les champs d’actions de l’association s’élargissent aux nouvelles problématiques LGBT. En 2019, Sébastien Corolleur dresse un premier bilan.
Comment Personn’ailes a-t-elle évoluée, depuis sa création ?
En 18 ans, nos rapports avec la direction d’Air France ont énormément avancé, et dans le bon sens. La collaboration de Personn’Ailes avec Anne Rigail et Benjamin Smith nous permet de mener à bien les objectifs fixés.
Depuis quatre ans, un service de diversité, porté sur le handicap, l’égalité entre les hommes et les femmes et la cause LGBT, est actif au sein de la compagnie. Il rend compte de nos actions.
Une année chez Personn’Ailes, qu’est-ce donc ?
En vue d’une présentation auprès de la direction, Personn’Ailes établit toujours un plan d’action clair, selon le mode de fonctionnement d’Air-France. Nous réalisons des réunions en interne, des évènements, une assemblée générale, et participons à la marche des fiertés, tout au long de l’année.
Avez-vous mené de nouvelles actions, en 2019 ?
Nous avons effectivement inclus quelques nouveautés, cette année. Nos démarches nous permettent de faire avancer et respecter les droits LGBT+, en France. C’est l’esprit même de la crédibilité de Personn’Ailes.
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Le 17 mai, nous avons accueilli une conférence en interne sur les LGBT-phobies, marquée par la signature de la charte d’engagement LGBT de l’autre cercle par Anne Rigail. En collaboration avec Le Refuge, un aller-retour friendly Paris/San Francisco a également été proposé, lors du week-end de la pride.
Une action à venir ?
Le 1er décembre prochain, Personn’Ailes projette d’entretenir un partenariat avec AIDES, pour la journée d’action-prévention sur le VIH/SIDA. Nous allons élargir nos actions à tous les secteurs de l’entreprise, à Paris et en région.
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