PORN QWEEK : Hustlaball Berlin, récession du porno gay, Cud et interview de Liam Riley !

Souvenirs de la Hustlaball Berlin   Décadent ! C’est le premier mot qui nous vient en tête en voyant cette vidéo qui nous propose de nous replonger au cœur de...

Souvenirs de la Hustlaball Berlin

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Décadent ! C’est le premier mot qui nous vient en tête en voyant cette vidéo qui nous propose de nous replonger au cœur de l’événement Hustlaball de Berlin. Pour rappel, cette manifestation qui a lieu dans différentes grandes villes du monde (la prochaine aura lieu à Las Vegas) propose à son public gay de venir faire la fête en compagnie de porn stars et escort boys pour des soirées débridées.

Entre remises de prix et shows très explicites, Hustlaball est devenue une référence pour les garçons qui n’ont pas froid aux yeux. Preuve en est donc cette vidéo qui nous fait suivre la grosse soirée qui a eu lieu au KitKatClub de Berlin en octobre dernier, où les porno boys se sont lâchés sur scène pour le plus grand plaisir de leurs fans.  Rafale de mâles torses nu, drague à tous les étages, costumes extravagants : un tourbillon de fête et de sexe !

 

 

Le porno gay en pleine récession ?

porno_recession 

C’est l’article américain qui fait le buzz cette semaine. DAZED a mis en ligne un reportage au sein duquel plusieurs porn stars telles que Adam Russo, Ashley Ryder , Kayden Gray ou encore JP Dubois alertent sur la chute du porno gay. Tous s’accordent en effet pour dire que le x gay ne se porte pas très bien, trop concurrencé par le piratage.

Oubliez les idées reçues qui voudraient que le porn soit LE moyen de se faire de l’argent facile. Cela ne semble plus être le cas depuis plusieurs années et les budgets ont dû être revus à la baisse aussi bien pour les labels qui tournent leurs scènes à moindre coût que pour les modèles qui « doivent tourner plus pour être payés moins ».

 

L’article nous apprend ainsi que même aux Etats-Unis et quand on est une star du x gay, il est devenu difficile d’en vivre. Les tournages « adultes » ne constitueraient alors plus qu’une vitrine pour escort boys, utilisant essentiellement les vidéos pour booster leur notoriété et avoir plus de clients. Si de grandes maisons comme MEN, Raging Stallion ,Falcon ou le très hype Cockyboys semblent encore se porter à merveille et proposent à leurs acteurs des contrats d’exclusivité, ce sont visiblement les labels indépendants qui trinquent…

 

Face à la chute du business est toutefois observé que paradoxalement les porno boys n’ont jamais été aussi populaires, suivis et exposés. Devenus leurs propres attachés de presse, les modèles font le show sur les réseaux sociaux comme Twitter et parviennent parfois à en tirer profit, profitant de leur fanbase pour acquérir de nouveaux revenus grâce à des sponsors ou via des liens d’affiliation. Petite frustration à la lecture de l’article : s’il est regretté que le porn payant soit en baisse, aucune piste de réflexion n’est clairement donnée pour palier au manque à gagner causé par les tubes. Lire l’article en anglais ici.

 

Les porno boys envahissent Le Cud !

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C’est l’anecdote amusante de la semaine que les gays parisiens seront probablement ravis d’entendre. Le charmant modèle porno français Alexis Tivoli nous a contacté pour nous donner une exclu : presque tous les barmen du CUD (l’un des bars-clubs gays de la capitale) seraient des jeunes porn stars ! Alexis sait de quoi il parle puisqu’il y travaille lui-même !  Il aurait pour collègues le très mimi Camille Kenzo ou encore Xavier Sibley. Leur point commun ? Ils ont tous tournés pour le label français French Twinks.  La formation « barman » aurait-elle été dispensée entre deux scènes x ? :p

 

Interview : La scène parfaite de Liam Riley

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Régulièrement nous allons désormais demander à des modèles de porno gay qu’on aime de nous raconter la parfaite scène porno qu’ils rêveraient de tourner. Et on commence la rubrique avec un acteur porno de premier choix puisqu’il s’agit de Liam Riley, la star de Cockyboys, qui a accepté de se prêter au jeu et d’ouvrir la marche !  

 

De passage à Paris pour assurer la promotion du documentaire Meet the Morecoks présenté au Festival Chéries Chéris, Liam dit être « heureux » quand on lui demande comment il se sent. Et d’ajouter : « J’ai l’impression que tout se passe très bien dans ma vie en ce moment. J’ai de supers amis, une super famille qui me soutient, je prends beaucoup de plaisir à tourner pour Cockyboys ». Quelle serait donc la scène parfaite pour ce beau minet né à Los Angeles ?

 

« Ma scène parfaite se passerait un jour d’été car c’est ma saison préférée. Le décor serait un château, un décor immense et luxueux. Le summum serait que cela se passe à Londres. J’adore l’architecture de cette ville ! Cela donnerait sans aucun doute à la vidéo un très beau cachet. Concernant mon partenaire idéal, pas facile de choisir ! (rires) Je suis définitivement attiré par les européens assez butch, donc un mec de ce genre, ce serait pas mal. Ce serait une scène plutôt romantique, avec des embrassades douces et sensuelles. J’aime prendre mon temps quand je fais du sexe. Il faudrait que ce soit chaud et passionné, qu’on sente bien à l’écran à quel point on se plait avec mon partenaire.  Pour ce qui est des positions, j’opterais pour des choses plutôt classiques. Un bon doggy style m’irait parfaitement ! Ce qui me ferait jouir ? Tout simplement de sentir que le garçon est à fond sur moi et que je l’excite. »

 

Et quel serait son premier réflexe après avoir joui et mis la scène en boîte ? « Je pense que la première chose que je ferais serait de manger (rires). C’est ce que je fais en général. Un bon resto mexicain après avoir joui, ce serait parfait ! »

 

Les films Cockyboys, dans lesquels Liam Riley tient souvent la vedette, sont à retrouver sur la chaîne adulte Pink X

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